Pierrette a 14 ans au moment de la libération de Versailles en août 1944. Elle tient un journal des événements vécus au sein de sa famille : la peur incessante des bombardements, les descentes aux abris, l’arrivée des armées alliées, les défilés dans les rues de Versailles, mais aussi les moments de joie où l’on chante, l'on danse et l'on boit l’apéritif avec les amis.

Ce texte a été mis en scène avec quatre personnages : Pierrette, son père Paul, sa nounou Adrienne et la radio qui diffuse les nouvelles et les chansons d’époque. La pièce a déjà été présentée dans quatre EHPAD de l’Avallonnais et dans l’auditorium du Lycée Hoche à Versailles.

Adam a 12 ans quand son père est assassiné lors de la guerre civile au Darfour. À 15 ans, il rejoint les milices et participe à la guérilla puis s'enfuit vers le Tchad et la Libye où il vit un véritable esclavage.

Après la traversée jusqu'à Lampedusa, il rejoint Paris où son rêve de la patrie des droits de I'Homme n'est pas au rendez- vous. II nous raconte sa lutte pour les papiers, le travail, les hébergements, ses peines et ses joies au fil des rencontres.

Il veut pleinement s'approprier cette nouvelle culture, devenir boulanger-pâtissier, rendre le pain qui l'a sauvé et faire du théâtre pour vaincre sa timidité et finalement raconter son histoire.

Un témoignage étonnant, recueilli entre Auxerre et Avallon, au hasard d'une correspondance. La mère essaye de sauver sa fille en la cachant au sous-sol de la sacristie. Elle la dépose dans un fût qu’elle bourre de linges divers. L'église flambe.

Parti en Afrique pour créer un négoce de bois précieux, Fernand Brandenbourger y épouse Eva et devient père d'une fille : Aline. En 1914, alors qu'il séjourne en Allemagne avec cette dernière, la première guerre mondiale commence. Piégé dans un pays hostile et confronté à de grandes difficultés, Fernand se demande alors s'il pourra retourner en Afrique avec sa fille pour retrouver Eva.

Lorsque l’URSS annexa plus de la moitié du territoire de la Pologne après l’avoir attaquée le 1^er septembre 1939, ce qui déclencha la Seconde guerre mondiale, Leib, né en 1912, va être déporté avec des milliers d’autres Polonais, d’abord en Sibérie puis en Asie centrale. Leib va-t-il résister, s’enfuir ou rester à jamais en Union Soviétique ? Reverra-t-il sa famille ?

Les Éditions Faramine ont le plaisir de rééditer ce récit, initialement recueilli en 1888 par l’abbé Ducrost et réimprimé en 1966 par les Presses Protat Frères de Mâcon, avec les magnifiques illustrations de Paul Avril. Vous y découvrirez le sort surprenant de la Bête Faramine, cet animal fantastique, étrange et redoutable que l’on trouve dans divers récits bourguignons et vendéens et auquel La Scène Faramine a emprunté son nom.